Ce matin nous avons récolté nos premières pommes de terre nouvelles et ce midi nous les avons préparées, humm quel délice, avec leur peau fine rissolée dans le
beurre , leur goût délicatement sucré et de savoir qu’en mangeant ainsi des légumes on peut avoir un rôle important à jouer pour lutter contre le réchauffement climatique, le plaisir n’est que
plus intense.
"Les changements de mode de vie et de comportement peuvent contribuer à la réduction des émissions (de gaz à effet de serre) dans tous les secteurs", indique le "résumé à l'intention des
décideurs" politiques, approuvé par quelque 400 délégués mandatés par environ 120 pays auprès du Giec. Le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernnemental sur l'Evolution du
Climat = GIEC) a été créé en 1988 par le WMO et le PNUE. Le rôle du GIEC est " d'évaluer l'information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique
provoqué par l'homme."
Une autre option à prendre en considération est de devenir végétarien, a ajouté M. Pachauri, de nationalité indienne "Si les gens mangeaient moins de viande, ils seraient peut-être en meilleure
santé. Et, en même temps, ils contribueraient à réduire les émissions générées par l'élevage des bovins", a-t-il fait remarquer.
Produire la viande, la transporter, la réfrigérer, l'acheminer dans les commerces de détail, tout cela contribue à émettre des gaz à effet de serre, a-t-il indiqué.
Selon Jean-Marc Jancovici, consultant français indépendant spécialisé dans les questions énergétiques, un kilo de boeuf, une fois arrivé dans l'assiette, correspond à 3,7 kilos de dioxyde de
carbone.
Alors maugeons des pommes de terres…nouvelles…de Bretagne !!!